Partout par le monde et depuis des années, les spécialistes ont intégré ces traitements à leur pratique et les considèrent comme pertinents, en association à un ensemble de mesures thérapeutiques non médicamenteuses. Ceci a permis une prescription de niveau mondial. Ce contexte rend difficilement compréhensible que l’argument majeur déployé pour sceller le sort de ces traitements a été l’allégation d’une nocivité et d’une dangerosité telles que leur rapport bénéfice risque ne pourrait plus être considéré comme favorable.